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samedi 23 juillet 2022

L’appel engagé d’Aubin Akpohounkè pour le ’’Hanlissa’’ 2022

Dans sa participation à l’émission, ’’A la découverte de …’’

 

Invité de l’émission, ’’A la découverte de …’’, du vendredi 17 juin 2022, sur le forum ’’Whatsapp’’ du ’’Noyau Critique’’, l’association de journalistes culturels et de critiques d’art pour le développement, Aubin Akpohounkè, initiateur et organisateur principal du festival, ’’Hanlissa’’, a, entre autres, abordé la difficile tenue de la 13ème édition de l’événement. Ainsi, il a appelé à la contribution financière de tous les Béninois.

 

L'affiche officielle de l'appel d'Aubin Akpohounkè

« […] nous avons lancé un appel à tout le peuple béninois pour sa contribution, ne serait-ce que par un petit geste financier ». L’essentiel à retenir de la participation d’Aubin Akpohounkè, journaliste et animateur culturel béninois connu en langue nationale du fon, à la première édition de l’émission, ’’A la découverte de …’’, qui s’est déroulée dans la soirée du vendredi 17 juin 2022, à l’interne, sur le forum ’’Whatsapp’’ de l’association de journalistes culturels, dénommée, ’’Le Noyau Critique’’.


Dans sa réponse aux questions, à travers un débat animé par le journaliste cultuel et culturel béninois, Patrick Yobodè, Aubin Akpohounkè a précisé que le festival ’’Hanlissa’’ est prévu pour avoir lieu des 26 au 28 août 2022, dans le département du Zou, plus précisément, à Adingningon, dans la commune d’Agbangnizoun. Même si cette localité en est l’un des dix arrondissements, l’invité indique avoir fait le choix de ce village comme site du déroulement du festival indiqué, contrairement aux habitudes de l’exploitation du Stade de l’Amitié Général Matthieu Kérékou, de Cotonou, à cause de l’absence de moyens financiers.


Situation financière préoccupante 

Selon lui, la morosité économique actuelle, au Bénin, rend les choses plus difficiles pour une organisation aisée, surtout qu’en outre, l’émission du même nom, ’’Hanlissa’’, diffusée sur la chaîne de télévision privée, ’’Canal 3’’, « a été stoppée », ce qui donne lieu au « repli des sponsors ». A en croire les détails qu’a apportés l’invité, avec la morosité concernée, les rares sponsors qui restaient attachés à l’événement « n’ont plus la force » de le soutenir financièrement.

 

Pour lui, c’est depuis 2019 que, confronté à cette situation, il a fait l’option de déplacer le festival vers les villages du Bénin. « Cela est, d’ailleurs, bien », a-t-il commenté, « parce que cela permet aux Béninois de l’intérieur de reprendre contact avec la musique de leurs artistes préférés », ces créateurs appartenant, généralement, à la musique traditionnelle.

 

Par ailleurs, Aubin Akpohounkè a affiché un véritable engagement pour maintenir le festival ’’Hanlissa’’ plus vigoureux que jamais : « [Le festival] ne peut pas mourir tant que je vis. Tant que je vis, chaque année, même si c’est trois personnes, je les réunirai pour leur parler du festival, ’’Hanlissa’’. Trois personnes et deux artistes, cinq personnes suffisent pour l’organisation de chaque année ». Face à un tel défi, l’invité de la première édition d’ ’’A la découverte de …’’, du forum ’’Whatsapp’’ du ’’Noyau Critique’’, s’est montré ouvert à un appui d’ordre public même s’il ne le rend pas incontournable pour relever le défi concerné : « […] je ne compte pas forcément sur l’Etat pour organiser ’’Hanlissa’’. S’il me vient en aide, je prends. Si l’Etat ne me vient pas en aide, ça passe, je continue ».

 

Par conséquent, il a annoncé, pour ’’Hanlissa’’ 2022, « Ce sera, comme d’habitude, un grand plateau », avant de promettre vivement : « Nous allons faire tout ce que nous avions l’habitude de faire à Cotonou ». Puis, Aubin Akpohounkè a décliné la puissance de ses ambitions : « Cette année, je voudrais donner, même étant dans un village, une force à cette organisation ; je voudrais que cela soit comme ce qu’on à l’habitude de faire : drainer du monde, le multiple du monde que j’ai l’habitude de trouver au Stade de l’Amitié autour de cet événement ».

 

Et, en dehors de l’aide financière que les Béninois, individuellement, peuvent lui apporter, il en attend beaucoup de l’appui des membres de sa communauté professionnelle, que sont les femmes et les hommes de médias. Selon les propos de l’invité, il a un grand besoin d’eux pour la visibilité de ’’Hanlissa’’, étant donné qu’un bon nombre de ses compatriotes croient que le festival a disparu en même temps que la diffusion de l’émission du même nom sur ’’Canal 3’’.

 

Un parcours interpellant

’’A la découverte de …’’, dans sa première édition, en valait la peine, vu que l’émission en ligne a permis de faire connaissance avec Aubin Akpohounkè concernant un parcours jonché d’obstacles qu’il réussit, chaque fois, à surmonter.

 

Natif du village de Houawé Attogouin Yomè dont il est originaire et n’étant titulaire que du Certificat d’Etudes primaires (Cep), il est devenu orphelin de père à onze ans.

 

A l’origine, comédien, il côtoie, par ce métier, l’univers des médias, par le biais d’une émission qu’il co-animait avec l’humoriste béninois bien connu, ’’Aloba Dur’’. Impressionné par sa manière de présenter celle-ci, il lui demanda de l’orienter dans la presse. En réponse à cette demande, il le dirige vers la presse écrite. « Je ne me sentais pas capable d’assurer cela parce que je n’avais pas un grand diplôme », s’en est justifié Aubin Akpohounkè, au cours de l’émission dans laquelle il était invité le 17 juin 2022.

 

Aubin Akpohounkè, alias, Dah Akpohounkè

Puis, en voyage à Pobè, une commune du sud-est du Bénin, à une époque en coïncidence avec l’éclosion des radios communautaires, il postule, grâce à des parents qu’il a dans la ville, à un stage de formation à Radio ’’Olokiki’’. Il y est admis en 2004. Un an et demi après et en possession de son attestation, il revient à Cotonou et dépose un dossier de candidature pour être journaliste et animateur au niveau de plusieurs radios, sans succès. Ayant entendu parler de ’’Canal 3’’, une chaîne de télévision naissante, à l’époque, il y postule aussi, est appelé pour un entretien qui se révèle concluant. Il est recruté comme journaliste-animateur. « […] au début, je présentais le journal en langue fon, ce qui n’existait pas sur la chaîne », a-t-il rappelé. « Ce n’était pas facile », a-t-il continué, « parce qu’il fallait traduire toutes les informations traitées du français vers le fon ». Sans tarder, sa notoriété s’établit : « Comme il s’agissait du fon et que je le parlais bien, les gens ont commencé à me remarquer, progressivement, dans ce que je faisais. […] On faisait ce qu’on pouvait pour rehausser l’image de la chaîne. Le journal télévisé fon était tellement suivi qu’il supplantait, en matière d’audimat, les éditions en français ».

 

De ’’Hanlissa’’ à ’’Hanlissa’’

Dans ces conditions intervint la création de l’émission, ’’Hanlissa’’. Il fallait, selon Aubin Akpohounkè, combler un vide. Nouveau témoignage de l’invité : « La naissance de ’’Hanlissa’’ s’est produite après un constat. En 2008-2009, venant du village, j’écoutais beaucoup de musique traditionnelle. J’ai constaté, arrivé à Cotonou, l’absence de cette musique d’une certaine époque, au profit de la musique moderne, par des morceaux, sur les chaînes de radio, et par des clips, à la télévision. Je m’interrogeais : ’’Comment se fait-il que ces anciens-là, on ne les voit plus ? Sont-ils morts ? Si c’en est le cas, il faudrait mener une enquête pour le savoir’’. Cette situation m’a poussé à réfléchir à un concept : aller vers ces chanteurs de la musique traditionnelle, devenus invisibles, sur les médias, et faire renaître la musique traditionnelle ».


Il en a, alors, fait la proposition d’émission à Berthe Cakpossa, Directrice à ’’Canal 3’’, qui l'avait, d’abord, rejetée. Puis, plusieurs jours après, alors qu’il était allé la rencontrer pour un autre motif, elle l’interpelle sur le projet d’émission, qu’il lui avait soumis. Elle lui enjoint, donc, d’aller voir le réalisateur afférent pour les préparatifs afin d’en lancer le numéro zéro. De cette manière, Aubin Akpohounkè se vit attribuer la tranche de l’émission ’’Hanlissa’’, sur ’’Canal 3’’ Bénin, un programme télévisuel auquel il dresse les fiers lauriers de sa notoriété : « Si je devais m’en tenir seulement au journal télévisé que je faisais, je ne serais pas connu tel que je le suis aujourd’hui. C’est à travers l’émission culturelle, ’’Hanlissa’’, qui allait à la découverte des artistes de la musique traditionnelle qu’aujourd’hui, je suis connu ».


Progressivement, cette émission se prolongea par le festival du même nom, avec l’objectif de mettre sur la sellette les grands noms de la musique traditionnelle afin, selon l’invité, de « ramener » celle-ci « à la place qu’il faut dans le pays puisque cette musique est délaissée ».

 

Dah Akpohounkè conseille …

L’un des temps forts de la première édition de l’émission, ’’A la découverte de …’’, du vendredi 17 juin 2022, sur le forum ’’Whatsapp’’ du ’’Noyau Critique’’, l’association de journalistes culturels et de critiques d’art pour le développement, fut l’hommage qu’Aubin Akpohounkè rendit à son village d’origine. Morceaux choisis …


« Tout ce que je suis, aujourd’hui, je le dois à mon village. [Il] m’a permis d’être ce que je ne pouvais jamais imaginer. Malgré que j’étais orphelin de père à onze ans, je me suis retrouvé entouré de gens. Donc, je ne suis rien sans ce village qui m’a donné et fait beaucoup de choses ; il m’a donné une grande vision puisque si mon village natal n’était pas un lieu éducateur, je ne pourrais pas être à cette étape. Donc, je dois remercier mes parents du village, mon village et, surtout, tous ceux qui ont participé à mon éducation ».


A en croire les révélations de l’invité, son statut d’acteur culturel, son sens de discernement des choses, la place qu’il a acquise dans son domaine d’activité et, même son diplôme, sont du mérite de Houawé Attogouin Yomè. En tant que journaliste culturel, il a, néanmoins, déploré la désaffection des autorités pour ce corps professionnel : « Les dirigeants ne donnent pas au journalisme culturel la valeur qu’il devrait avoir ». Pour autant, il invite les journalistes culturels à « résister à toutes les intempéries », à « ne pas quitter la culture pour la politique », à « penser au développement de la culture, ce que nous avons de plus cher », de même qu’il a appelé les personnes intégrant nouvellement cette profession à « ne pas poursuivre l’argent mais à être prêtes au sacrifice ».

 

Lui qui, à l’heure actuelle, sollicite l’accompagnement financier de tout un chacun pour la bonne tenue du ’’Hanlissa’’ 2022, peut recevoir tout transfert d’argent, par Mobile money, au (00229) 67009707 ou au (00229) 95691783, quel qu’en soit le montant, même s’il est de 1100 Francs Cfa.

 

Marcel Gangbè-Kpogodo

vendredi 19 juin 2020

"Les femmes de l'Association "Hanlissa" " relèvent le défi d'une parfaite célébration

Dans le cadre de la tenue de la Fête des Mères

Les activités liées à la célébration de la Fête des Mères, prévues par "Les femmes de l'Association "Hanlissa" ", ont bel et bien eu lieu le dimanche 7 juin 2020 au restaurant "Sapin royal" à Tankpè, dans la commune d'Abomey-Calavi. L'initiative a donc été un franc succès. 

Elles ont fait le déplacement des grands jours

Conférences-débats, repas, réjouissances et coupure d'un gâteau. Les quatre phases ayant meublé la célébration de la Fête des Mères par "Les femmes de l'Association "Hanlissa" " dans la journée du dimanche 7 juin 2020 au restaurant "Sapin royal" du quartier de Tankpè à Abomey-Calavi. Le cadre choisi pour les festivités, un espace à la fois ouvert et intime, a laissé se manifester une ambiance bon enfant, décontractée, empreinte de jovialité et de gaieté. 

Aubin Akpohounkè, au cours de la manifestation

Dans un contexte aussi attrayant, Aubin Akpohounkè, journaliste et animateur culturel de langue nationale fon, puis promoteur du festival "Hanlissa" et de l'émission télévisuelle du même nom, a savamment orchestré le passage d'une activité à l'autre. Ayant donc officié comme présentateur. il se sentait en harmonie avec son domaine et dans une parfaite symbiose avec les mères de son association culturelle, qui se sont déplacées massivement afin de vivre l'événement, habillées qu'elles étaient dans un joyeux uniforme en fond bleu clair, avec un chapeau estampillé "Hanlissa". 


Des communications 

Concernant les communications prévues, deux orateurs se sont succédé en face du public de mères afin de décliner leurs thèmes respectifs. 

Stella Amoussouga

D'abord, Stella Amoussouga, journaliste à la télévision, "La Béninoise Tv", est intervenue sur les missions cardinales de la mère au sein du foyer. Ainsi, elle a évoqué la sensibilité du rôle social de la mère qui met au monde l'enfant, l'élève et l'éduque. 


Selon ce triple processus, elle le nourrit en lui donnant le sein, lui apprend à marcher et détient sur lui un pouvoir de façonnement de son avenir par la parole qu'elle émet sur lui. 


Par la suite, abordant les devoirs de la mère envers l'enfant, il revient, pour elle, à la femme procréatrice de développer des qualités de patience afin de conduire l'être humain de l'enfance à l'âge adulte, de prononcer à son endroit des bénédictions afin de lui garantir un avenir radieux, de travailler à faire de ses enfants des amis, de se familiariser au calendrier afin de maîtriser le cycle menstruel de sa fille aux fins de la guider à éviter les grossesses non désirées, de suivre l'enfant dans ses années d'études afin qu'il y réussisse, d'éviter de contredire le père du foyer dans ses orientations et, notamment, de savoir gérer le téléphone, les réseaux sociaux et la télévision de façon à ce que ces canaux de communication ne créent pas des désagréments dans la famille. 


Closant son exposé, Stella Amoussouga a félicité la mère pour tous les sacrifices qu'elle consent afin de faire face avec succès à sa lourde mission et lui a rendu hommage du fait qu'elle aille jusqu'à sacrifier son patronyme en faveur de celui de son mari. Elle a, par conséquent, appelé à honorer sa mère quels que soient son milieu social, sa situation, ou qu'elle soit sorcière ou non. 

A gauche, Jean-Pierre Hounti-Kiki, au cours de sa communication

Quant au chanteur de la musique traditionnelle, Jean-Pierre Hounti-Kiki, il a axé sa communication, tenue en langue nationale fon, comme son prédécesseur, sur le pouvoir essentiel de la femme et de la mère. Il a alors montré que la femme, de manière fondamentale, est un être qui détient le pouvoir, quel que soit où elle se trouve, ce qui a conduit, selon l'intervenant, dans les temps anciens, les ancêtres à empêcher la femme d'appartenir directement et visiblement à une sphère où s'exerce le pouvoir. 


Selon lui, elle est aussi le bastion de la tradition et l'agent de sa transmission aux enfants, ce qui impose à la mère, pour réussir cette mission, d'effectuer des recherches sur la famille de son mari et sur la sienne afin de maîtriser les principes à transmettre à sa progéniture. 
Par ailleurs, à en croire l'intervenant, une autre sphère du pouvoir de la mère est le verbe qu'elle doit savoir utiliser en faveur de ses enfants. Il a, en outre, prodigué aux mères un conseil, celui d'aller puiser dans la tradition les richesses afin de réussir une éducation authentique et inculturée des enfants. 


Dans son argumentation finale, Jean-Pierre Hounti-Kiki a relevé les domaines où la mère fait un usage négatif de son pouvoir : la sorcellerie, les pouvoirs occultes, sa personne propre dans laquelle elle cultive la crainte de soi et des autres. Il a, par la suite, prononcé des bénédictions sur les mères. 


D'autres activités 

Kpètchéwè, de la musique traditionnelle ...

... et Chimo la diva, de la musique moderne d'inspiration traditionnelle, ont émerveillé les mères par leur prestation musicale

Si les intermèdes entre les activités au programme ont été assurés par des étoiles montantes de la musique béninoise, telles que Kpètchéwè et Chimo la diva, la fête des mères s'est poursuivie avec un repas des grands jours qu'ont partagé les mères "Hanlissa". 


Aussi, il y a eu des moments chaleureux où des pas de danse ont été esquissés par les membres présentes des "Femmes de l'Association "Hanlissa" ". 

Les mères en train de savourer leur repas ...

... puis de se défouler à travers l'exécution d'une danse bien cadencée

Enfin, dans une allégresse hors du commun, un gâteau a été découvert, découpé et partagé. 

 
Coupure du gâteau symbolique


Marcel Kpogodo

jeudi 27 juillet 2017

Le 20 août 2017, rendez-vous inévitable pour le Festival ’’Hanlissa’’

Dans le cadre de la tenue de sa 8ème édition


L’espace ’’Dako Donou’’, situé à Godomey, a abrité une rencontre capitale. Elle a permis la mobilisation massive des amoureux de l’émission télévisuelle à succès, ’’Hanlissa’’. Objectif déjà atteint, selon eux : la tenue de la 8ème édition du Festival ’’Hanlissa’’, le 20 août prochain, à Cotonou.

Aubin Akpohounkè, au cours d'une édition passée du Festival ''Hanlissa''
Le 20 août 2017, au Palais des Sports du Stade de l’Amitié Général Mathieu Kérékou de Cotonou ! La date et le lieu réaffirmés de la tenue de la 8ème édition du Festival ’’Hanlissa’’, au cours de la grande réunion de nombreux amoureux de l’émission du même nom, le dimanche 9 juillet 2017, au siège de la structure culturelle, ’’Hanlissa productions’’, située à Godomey-Togoudo.
Le fait ayant rendu ferme et farouche la détermination de ces inconditionnels de leur émission préférée face à la concrétisation du Festival reste que l’émission ’’Hanlissa’’, depuis quelques temps, n’est plus diffusée sur les ondes de la Chaîne de télévision, ’’Canal 3’’. Selon eux, cela devrait être un signe avant-coureur de la mort de l’événement annuel, ce qu’ils se sont montrés très loin d’accepter. C’est ainsi que les nombreux téléspectateurs de l’émission ’’Hanlissa’’ et, par conséquent, accros de la manifestation culturelle des vacances, ont décidé de s’impliquer personnellement dans la tenue et la réussite du Festival ’’Hanlissa’’ 2017.
Premier acte pragmatique, donc, qu’ils se sont recommandés : renouer le contact avec les plus de deux cents membres du Fan-club ’’Hanlissa’’ avec, comme mission claire assignée à cette structure, porter le plus loin possible l’information sur le déroulement du Festival ’’Hanlissa’’, le 20 août prochain. Quant au deuxième engagement validé, il s’agit de boucler le budget de la tenue de l’événement. Et, pour s’assurer de l’atteinte de sa mission par le Fan-club de l’émission ’’Hanlissa’’, un organe particulier a été mis en place : le Conseil des Sages, constitué de 9 membres. Il faudrait ne pas perdre de vue que le Festival verra s’animer une partie off qu’animeront pas moins de six artistes en herbe, membres aussi du Fan-club ’’Hanlissa’’. Profondément satisfait de toutes ces dispositions présentant les signes annonciateurs de la tenue du Festival ’’Hanlissa’’, son promoteur, Aubin Akpohounkè n’a pu que convier ses hôtes à un déjeûner.


Marcel Kpogodo


Quelques membres du Conseil des Sages du Fan-club ’’Hanlissa’’

1- Pierre Mahoulinkponto
2-Papa Yèhoué
3-Mathias Azinma
4-Wilfried Agoli-Agbo
5-Minmingnonnou Houanyissi
7- Marcel Aho
8-Georges Sèwé

Artistes retenus pour la partie off du Festival

1-Sèmèvo
2-Allognon
3-Sègon Ayikpo
4-Princesse Dohoué
5-Gbènonvi

6-Ardos

M.K.